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Les souffrances de Notre Dame des Roses

Je suis la mère des apôtres, la mère de l’Eglise. Je les aime tant. Priez, priez pour eux, priez, car ils ne comprennent plus ! Quelle douleur pour une mère. (21 juin 1968)

Pensez bien à ce que souffre une maman, à ce qu’elle souffre pour ses enfants, lorsqu’elle voit qu’ils ne reviennent plus. Priez, mes enfants, intensifiez les prières.
Comment aimez-vous une mère ? Vous n’écoutez pas ma parole, mes enfants, réfléchissez, réfléchissez, car l’heure est arrivée du terrible fléau et j’en souffre tant, tant. (2 juin 1967)

Mes enfants, je pleure tant, je pleure tant pour mes enfants, car ils n’ont pas écouté mes paroles de mère, d’une mère qui vous aime tant, qui souffre tant, et pleure des larmes de sang, à voir tous mes fils aller à la perdition. Ils sont plus nombreux ceux qui se perdent que ceux qui vont au ciel. (2 juin 1967)

Je suis venue sur cette terre pour apporter la paix dans les cœurs et dans les nations et ils ne l’ont pas acceptée et moi je pleure tant, tant des larmes de sang. (21 mai 1967)

J’ai tant de douleur. Je ne peux plus lever mes bras pour vous défendre, parce que le Père éternel dit : « cela suffit ! »
Il y a seulement malice, superbe et orgueil. Mais cet orgueil et cette malice seront piétinés et écrasés par toutes sortes de disgrâces ! Tremblements de terre, raz de marée, guerres, partout. (16 juil.1968)

Jésus a institué l’Eucharistie, pour vous donner tout Son corps et Son Sang, et vous, c’est comme si de rien n’était, vous ne faites pas cas de mon invitation de mère. Je pleure tant ! (30 janv.1970)

Je pleure, je pleure tant, tant sur le chemin du calvaire, à voir mon fils mourir en croix pour sauver l’humanité. Et personne n’écoute, pas même les bons. Qu’attendez-vous de moi, mes fils ? Les grâces, je les répands heure par heure sur vous. Vous ne comprenez pas les grâces que Je vous fais. (14 juil.1967)

Mes enfants bien aimés, je vous appelle à la prière et à la pénitence, avec beaucoup de foi, et beaucoup d’amour pour mon fils Jésus qui est ruisselant de sang ! Déchiré par tant de péchés. J’en souffre tant ! Et j’en ai tant souffert tout le temps de ma vie ! J’ai tout donné pour le salut de mes enfants, pour les convertir tous, pour les sauver tous, et les emporter au ciel, un jour avec moi ! (28 oct.1969)

Je suis la mère de l’Eglise, j’appelle mes apôtres. Avec ce que je dis, tous pourraient se sauver. Et ils auraient compris tant de choses ! Peu m’écoutent, peu. Moi, j’en ai le cœur transpercé. (28 oct.1969)

Je viens avec mon fils Jésus dont le cœur est ouvert par la lance des graves péchés qui se commettent dans le monde : les offenses des gens, et la multitude des sacrilèges qui se commettent nuit et jour. Quelle douleur pour moi et pour mon fils ! (7 fév.1969)

Je souffre tant et Je pleure tant. Priez toujours, nuit et jour, l’archange saint Michel, qui sera votre défenseur dans les batailles, votre ange gardien qui vous éclairera pour cheminer sur la voie droite du ciel.  (28 mai1969)

Il y en a tant qui sont au bord du précipice, tant, tant ! Et J’en souffre tellement ! Réunissons-nous tous, mes fils, avec une foi ardente, sous mon manteau ! Nous pourrons tout obtenir du Cœur de Jésus et du Père éternel. (13 oct.1967)

Réveillez-vous de ce sommeil des tentations : Je vous appelle ! Je vous appelle, mes enfants ! Ne voyez-vous pas cette multitude de mes fils qui se perdent ? Cette multitude de mes fils qui se précipitent en enfer ? Si nombreux ! Je pleure tellement ! (11 fév. 1969)