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Témoignage

Voici mon témoignage sur le port de la Médaille Miraculeuse de la rue du Bac

Depuis ma plus petite enfance, j’ai toujours porté sur moi la Médaille Miraculeuse

A 29 ans, j’étais chauffeur. Avec un jeune mécanicien, nous étions en train de remonter une boîte de vitesse sur un car. A la suite d’une fausse manœuvre, le car se mit à rouler et je suis devant la roue arrière droite. Le car me roule sur le corps, mais la roue ne passe pas sur la Médaille Miraculeuse.

Averti de l’accident, un prêtre, l’abbé C. vient me voir allongé sur le lit de la voisine la plus proche du garage. Il me confesse et me donne le sacrement des malades. Environ une heure plus tard, à la clinique St Damien de Nantes, un prêtre me confesse à nouveau et me donne lui aussi le sacrement des malades.

Pendant l’intervention, qui a duré 4 heures, le foie étant éclaté, j’ai fait une hémorragie interne : il faut donc me faire une transfusion. Mais le foie ne retient le sang qu’à la 3ème transfusion. Ce qui signifie qu’entre la 1ère et la 3ème transfusion, je me suis trouvé dans un coma dépassé, c’est à dire cliniquement mort.

A ce moment-là, j’ai eu une vision : j’ai vu un porche en forme d’ogive avec une lumière très douce comme ouatée et j’ai entendu une voix très douce qui m’a dit : « Tu viens, tu viens !?! »

J’ai répondu : «  Moi je veux bien… mais comment Thérèse (ma femme) va faire toute seule pour élever nos quatre enfants ? »

Et puis je suis revenu

Donc il me semble que j’étais sorti de mon corps et que je reprenais vie puisque le foie a retenu le sang à la 3ème transfusion.

Si la roue du car avait roulé sur la Médaille Miraculeuse, j’aurais eu le visage écrasé et je ne serai sûrement pas là pour témoigner.

Un conseil, portez sur vous la Médaille Miraculeuse, elle m’a protégée, elle peut vous protéger.

Merci Maman Marie

Jean, un ancien routier