Lc 2, 34-35 : « Syméon dit à Marie, sa mère : « Vois ! Cet enfant doit amener la chute et le relèvement d'un grand nombre en Israël ; il doit être un signe en butte à la contradiction, et toi-même, un glaive te transpercera l'âme !, afin que se révèlent les pensées intimes d'un grand nombre. »
O ma Mère, Mère si affligée, lorsque Vous rencontrez Votre Fils bien-aimé se rendant, en portant la croix, au lieu de son supplice, l’incendie d’amour qui habitait votre cœur se change en un océan de douleur. Que voyez-Vous ? Vous pouvez à peine le reconnaître tant Son Visage est défiguré. Mais Vos regards se rencontrent. Le Fils regarde la Mère et la Mère regarde Son Fils.
Jésus, son Fils, le trésor de son Cœur, elle l’a vu couvert de plaies, sa tête déchirée de cruelles épines. Il n’a pour agonie que le lit de la croix. C’est en cet affreux jour que le glaive prédit par Siméon est plongé dans son Cœur et le blesse de part en part.
Toute vie est une montée au Calvaire, ô Vierge sainte, et dans ce monde chacun de nous porte sa croix. Cette croix est faite de souffrances bien différentes. Mais, quelle qu’en soit la nature, son bois dur meurtrit et écrase toujours nos pauvres cœurs. Comment ne pas faiblir sous cette charge douloureuse ? Comment ne pas chanceler, ne pas tomber ? En recourant à votre cœur transpercé d’un glaive, ô Vierge des douleurs, et en vous appelant à notre aide.
Tâchons de suivre le Fils et la Mère en portant nous aussi, la croix que le Seigneur place sur nos épaules.
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