Garabandal : Notre Dame du Mont Carmel est venue donner au monde un message de salut, pour notre temps dans le village de San Sebastian de Garabandal, village perdu des montagnes Cantabriques, à 80 km au sud de Santander, en Espagne. Ce village de la « Montagne » est simple, pauvre. Les 300 habitants sont pieux : ils récitent l’angélus dès qu’ils entendent la cloche de midi et tous les soirs ils se réunissent à l’église pour y prier le chapelet.

Quatre fillettes seront les témoins choisis. Il y eut 2000 apparitions qui vont se dérouler en étroite concomitance avec un événement religieux capital pour la vie de l’Eglise : le Concile Œcuménique Vatican II (1962-1965).

La première apparition est celle l’archange Michel qui eut lieu le 18 juin 1961. Saint Michel apparut subitement aux quatre fillettes qu’elles décrivent comme : «l'Ange était habillé d'une robe bleue, longue, libre, sans couture ; les ailes roses, claires, assez grandes, très belles. Son petit visage est ni long, ni rond ; le nez très beau, les yeux noirs, la figure brune ; les mains très fines, les ongles coupés, les pieds invisibles. Il paraissait avoir 9 ans. Si jeune, il donnait l'impression d'une force invincible. »

L’apparition du 8 décembre 1964 fut très importante. Ce jour-là, Notre Dame du Carmel lui annonça que le 18 juin 1965, elle reverrait saint Michel. Cette annonce prophétique, datant de plus de six mois, se réalisa à la lettre. Et ce fut le deuxième message donné par l'intermédiaire du grand archange saint Michel :

« Comme on n'a pas accompli mon message du 18 octobre, je vous avise que celui-ci est le dernier. Auparavant, la coupe se remplissait ; maintenant, elle déborde. Beaucoup de cardinaux, d'évêques et de prêtres vont par le chemin de la perdition et entraînent avec eux beaucoup d'âmes. On donne de moins en moins d'importance à l'Eucharistie. Nous devons éviter par nos efforts la colère de Dieu sur nous. Si vous lui demandez sincèrement pardon, II vous pardonnera. Moi, votre Mère, par l'intercession de l'archange saint Michel, je vous demande de vous amender. Vous voici aux temps des derniers avertissements. Je vous aime beaucoup et je ne veux pas votre condamnation. Priez-nous sincèrement et nous vous exaucerons. Il faut vous sacrifier plus. Pensez à la Passion de Jésus. »

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