Formé de trois hameaux, Međugorje est un village entièrement catholique au sein de la Bosnie-Herzégovine.
Depuis leur retour de Terre sainte, après les croisades, les franciscains administrent l'endroit.
- En 1892 la paroisse est fondée et placée sous la protection de saint Jacques, patron et protecteur des pèlerins. Une première église paroissiale construite en 1897, bâtie sur un terrain instable, s'affaisse et se fissure.
- En 1933, pour le 1900e anniversaire de la crucifixion de Jésus Christ, à Jérusalem, les villageois décidèrent d'élever au sommet du mont Križevac une croix en béton de 8,5 m de hauteur, au cœur de laquelle il placèrent un morceau de la vraie Croix.
- Après la Seconde Guerre mondiale, des villageois décident de construire l'église actuelle, terminée et consacrée le 19 janvier 1969. A cette époque elle semble démesurée par rapport à la population du village (env. 500 habitants). Aujourd'hui elle ne peut contenir le flot grandissant et ininterrompu de pèlerins.
Car Međugorje est devenu un lieu de pèlerinage important, mondialement connu avec actuellement 2,5 millions de visiteurs par an. En effet, la Vierge y apparaît à six Croates d'Herzégovine depuis le 24 juin 1981 et y donne de nombreux messages.
"Individuellement, mes enfants, vous ne pouvez pas arrêter le mal qui désire gouverner le monde et le détruire. Mais, selon la volonté de Dieu, tous ensemble aux côtés de mon Fils, vous pouvez tout changer et guérir le monde."(Medjugorje, le 2 août 2011)
Lire la suiteSan Damiano est un village de 200 âmes à 20 km de Piacenza ( Plaisance), en Italie, ville située à 70 km de Milan.
Les faits étonnants qui s’y sont passés y font accourir des pèlerins depuis 1964.
Le 29 septembre 1961, en la fête de Saint Michel Archange, dans un petit village du Nord de l'Italie, San Damiano, une humble mère de famille mourante, Rosa Quattrini, se trouve soudainement guérie chez elle, par une jeune visiteuse.
En mai 1962, la jeune femme se fait connaître à Rosa comme "Mère de la consolation et des affligés", lors de son pèlerinage à San Giovanni Rotondo chez le Padre Pio.
Le 16 octobre 1964, la Très Sainte Vierge apparaît à Rosa pour la première fois dans son jardin, au-dessus du poirier, et lui donne le PREMIER MESSAGE qu'elle est chargée de transmettre au monde entier
A partir de ce jour commence la grande mission de Mamma Rosa. La Très Sainte Vierge lui apparaîtra continuellement et lui donnera de très nombreux messages adressés au monde entier, jusqu'à sa mort, en 1981.
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Le pape Benoît XV organisait une croisade de prières à Marie Médiatrice de toutes grâces, en vue de sauver le monde alors dévasté par la première Guerre Mondiale.
Une semaine plus tard, son appel angoissé recevait une réponse des lèvres mêmes de la divine Médiatrice.
Le dimanche 13 mai 1917, trois enfants gardent leurs brebis sur les collines de Fatima. La petite ville de Fatima de 10.000 habitants se trouve dans la partie ouest centre du Portugal, dans la région de Leiria. Elle est à environ 110 kilomètres au nord de Lisbonne. Elle se trouve dans le district de Santarem. Fatima est une paroisse de la municipalité d’Ourem.
Lucie, âgée de 10 ans et ses cousins François et Jacinthe âgés respectivement de le 9 et 7 ans sont les heureux choisis de la Vierge.
Notre Dame du Rosaire apparaîtra six fois en 1917, aux petits pastoureaux. Ils étaient des enfants ordinaires, qui ont pris part à un événement extraordinaire.
Le jour de la dernière apparition : 13 Octobre 1917, environ 70.000 personnes se sont rassemblées sous la pluie battante parce que Notre Sainte Mère a promis aux enfants un miracle. Celui-ci devait avoir lieu comme un signe de la véracité de ses messages pour eux. Lors de l'apparition, la pluie s'est arrêtée et les nuages se séparèrent. Les spectateurs purent voir : le soleil sans aucune gêne, le tourbillon du soleil et la danse. Avant le Miracle du Soleil, les spectateurs étaient trempés par la pluie. Après, ils étaient complètement secs.
Au cours de chacune des apparitions, Notre-Dame parla aux enfants de l'importance de la prière et de la pénitence, surtout pendant les périodes troublées.
Son message a été souvent interprété à la lumière des guerres mondiales dévastatrices qui ont éclaté peu de temps après son apparition.
Aujourd'hui, les mots de Notre-Dame semblent toujours particulièrement d’actualité.
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17 janvier 1871 - 17 janvier 2021 : 150e anniversaire de l'apparition - Grand Jubilé
Pendant les jours les plus sombres de la guerre contre les Prussiens (1870-1871), le 17 janvier 1871, à Pontmain, un hameau d’environ cinq cents habitants, Eugène, 12 ans et Joseph, 10 ans, Barbedette travaillaient dans la grange avec leur père. Eugène alla à la porte de la grange pour voir le temps. Il fut le premier à voir une belle dame sur le toit de la maison voisine. Son frère et quelques autres enfants la virent aussi.
Elle était habillée d’une robe bleu marine, constellée d’étoiles. Elle avait une couronne sur la tête par-dessus un voile bleu marine. Elle était environnée par une mandorle ovale de couleur bleue. La foule se rassembla à la grange et pria. De temps en temps la Dame paraît triste à cause des jurons provenant de personnes rustres, mais elle sourit surtout quand elle entend les prières et les hymnes, la récitation du Rosaire et les chants marials que le Père Guérin et deux sœurs conduisent. Les étoiles se rassemblent deux par deux sur sa robe.
Puis une grande banderole se déroule sous les pieds de la dame, formant ainsi un rectangle parfait. Elle épelle là son message : « Mais priez mes enfants Dieu vous exaucera en peu de temps. Mon Fils se laisse toucher ». Puis une grande croix apparaît dans les mains de la Sainte Vierge, avec un Christ tout couvert de sang. Et au sommet de la croix, une deuxième traverse blanche sur laquelle est écrit en lettres rouges « Jésus-Christ ». De ses deux mains, la Vierge tient la croix un peu inclinée vers les voyants. Puis comme les prières se terminaient, l’apparition aussi se termina après avoir duré environ trois heures.
Voir la vidéo de présentation de l'histoire de l'apparition
Lire la suiteA Manduria, petite citées des Pouilles, le «talon» de l'Italie, une jeune fille, Debora, vit une expérience mystique remarquable. D'une vie qui se déroulait entre études et discothèques, elle est passée à une vie de souffrances physiques et morales, totalement consacrée au Seigneur pour le salut du clergé et des religieux. Le 23 octobre 1992, la Vierge lui apparaît la première fois dans sa maison et se présente comme Avocate et Médiatrice de toute grâce. Elle lui enseigne le chapelet.
Le 17 mai 1993, Notre-Dame apparaît pour la première fois dans un jardin d'oliviers qu'Elle nomme «Céleste Verdure» ou «Gethsémani Saint», lieu qu'Elle choisit pour les apparitions publiques que Debora aura le 23 de chaque mois. Où qu'elle soit, les lacrymations et les effusions d'huile la suivent sur les statues et les images sacrées comme caractéristique de sa mission, ainsi qu'une persécution impitoyable.
Debora a une vie d'intériorité avec Jésus et Marie, qui viennent parfois accompagnés de saints et d'anges, en particulier saint François d'Assise, le bienheureux Padre Pio, l'archange Michel, l'archange Uriel et son ange gardien, Fidemile.
Jésus lui a demandé de rendre public leurs entretiens publiés sous le titre «La sagesse révélée du Dieu vivant».
Les signes ont été et demeurent exceptionnellement nombreux.
A Manduria, Marie se présente avec les titres glorieux de "Vierge de l'Eucharistie, Mère de l'Olivier Béni, Source d'Huile Sainte de l'Onction pérenne" et apparaît avec l'Hostie rayonnante au centre de Sa poitrine, la main gauche placée dessous comme une patène, dans un sens de réparation et trois doigts de la main droite levés en signe trinitaire, pour bénir et nous indiquer le Rosaire.
« O Cœur Immaculé, Mère de mon Seigneur, Source d'Huile Sainte de l'Onction pérenne (continue), Je Te supplie de me montrer Ton secret à moi grand pécheur, et de me consacrer à Toi aujourd'hui.
Marie, Mère de l'Olivier Béni, Très Sainte Vierge de l'Huile, touche-moi, aime-moi et guéris mon cœur à Ta manière, par Ton Amour.»
Lire la suiteL'Apparition à Knock eut lieu en 1879, huit ans après Pontmain en 1871. Les deux apparitions sont globalement similaires, car elles ont eu lieu dans la soirée et n'ont duré que pendant trois heures environ, et aucun mot n’a été prononcé.
Dans la soirée du jeudi 21 août 1879, deux femmes originaires du petit village de Knock, Mary McLoughlin et Mary Beirne, se trouvaient près de l'église locale quand elles ont remarqué des lumières sur le mur de l’église.
En s’approchant ces lueurs se sont révélées être des personnes : la Sainte Vierge, saint-Joseph et saint Jean l'évangéliste.
Comme les villageois se rassemblés, tous purent voir également un autel, avec un jeune agneau devant une croix. Un garçon vit les anges au-dessus de l'autel, mais ils ont n'entendu aucun bruit et aucun message verbal a été donné.
Le pape Jean Paul II visita Knock en 1979. La présence de l'agneau, de la Croix et de l'autel ont été vu comme orientant les spectateurs vers la mort sacrificielle du Christ et de la messe. Mais tous ces éléments se trouvaient derrière la Sainte Vierge, ce qui suggère que l'accent était mis sur elle et son rôle en tant que médiatrice.
Lire la suiteLa réalité est que trois jours au Lough Derg (se prononce loug derg) peuvent vous donner le paradis pour l’éternité...
Il s’agit bien d’aller vivre trois jours sur l’île où saint Patrick allait pour méditer et faire son purgatoire sur la terre. Ce lieu chargé d’histoire, de souvenirs, de traditions est un lieu de prière et de paix où le pèlerin, aujourd’hui, est invité à se rendre pour méditer en silence sur sa vie, faire pénitence et prier.
Il y a quelques semaines, nous recevions à l’association, une photocopie d’un article de Famille chrétienne de l’année dernière d’une abonnée (dont nous avons égaré le nom, qu’elle nous excuse). Le thème de ce lieu propre au purgatoire nous a interpellés. Après un contact rapide avec l’Irlande, nous avons été redirigés vers Vincent, retraité, en France, relais du sanctuaire. Après une lourde épreuve familiale, amoureux de l’Irlande, Vincent à pèleriner jusqu’au Lough Derg pour un retour aux racines de sa foi. Il s’est profondément ressourcé et, depuis plus de dix ans, est devenu un pèlerin infatigable au gré de ses maladies et de ses épreuves. Son témoignage nous a éclairés et à notre tour nous souhaitons vous transmettre notre intérêt pour la richesse de ce pèlerinage. Mais avant de découvrir ce lieu, je vous propose un petit retour en arrière pour mieux connaître saint Patrick et ce lieu célèbre d’Irlande.
Lire la suiteGarabandal est un village perdu des montagnes Cantabriques, à 80 km au sud de Santander. C'est un village de 270 montagnards à la vie rude. Ils sont pauvres mais d'une piété exemplaire. Le 18 juin 1961, l'Archange Saint Michel, qui semble avoir neuf ans, apparaît à quatre petites filles qui, elles, en ont douze ou onze: Conchita, Jacinta, Loli et Mari-Cruz. Il annonce la venue de Notre Dame du Carmel pour le 2 juillet suivant.
Jusqu’en 1965, au cours de 2000 apparitions, la Vierge viendra donner des messages, annoncera des événements graves pour l’humanité.
Prière à Notre-Dame du Mont Carmel
Vierge Immaculée, Marie, Lumière et Gloire du Mont Carmel, Jetez sur nous un regard de bonté, Et gardez-nous sous Votre protection maternelle. Fortifiez notre faiblesse par Votre puissance, Et dissipez par Votre lumière Les ténèbres de notre cœur. Augmentez en nous la foi, L'espérance et la charité. Ornez notre âme de toutes les vertus Afin qu'elle devienne de plus en plus Chère à Votre Divin Fils. Assistez-nous pendant la vie, Consolez-nous par Votre présence A l'heure de notre mort, Et présentez-nous à la Sainte Trinité, Comme Votre enfant, Afin que nous puissions Vous louer, Et Vous glorifier éternellement Dans le Ciel. Amen.
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Jean Marie Baptiste Vianney naquit le 8 mai 1786 à Dardilly, près de Lyon, dans une famille de fermiers. Toute son enfance fut profondément influencée par la ferveur et l’amour de ses parents. Cependant le contexte de la Révolution Française marqua puissamment sa jeunesse. Il fit sa Première Communion dans une grange, lors d’une messe clandestine célébrée par un prêtre n’ayant pas juré. Il fut ordonné prêtre en 1815, et envoyé à Ars en 1818. Il réveilla la foi de ses paroissiens par ses sermons mais surtout par ses prières et l’exemple de sa vie. Il restaura et embelli l’église, fonda un orphelinat « La Providence » et s’occupa des plus pauvres parmi les pauvres. Très rapidement sa réputation de confesseur conduisit vers lui beaucoup de pèlerins qui cherchaient à travers lui le pardon de Dieu et la paix dans leur cœur. Il fut un prêtre qui se laissa consumer par l’amour devant le Saint Sacrement. Il s’abandonna totalement à l’amour de Dieu et se donna sans compter à ses paroissiens et aux pèlerins.
Complètement donné à sa tâche pastorale, épuisé, il aura ce mot vers la fin de sa vie : « Qu'il fait bon de mourir, quand on a vécu sur la croix ! » Il est exaucé le 4 août 1859 quand il meurt à l'âge de 74 ans.
Les apparitions de la Vierge des douleurs, ont commencé au Pré-Neuf, à l’Escorial, le 14 Juin 1981, à la voyante Luz Amparo. Celle-ci reçut d’innombrables messages. Le dernier message pour le monde, a été donné en mai 2002. Voici ce que dit Notre Seigneur :
« Il n'y aura plus de message, mais des bénédictions très spéciales seront données ainsi que des marques qui demeureront scellées sur les fronts. Venez à ce lieu, Mes enfants, et vous serez marqués et bénis avec des bénédictions très spéciales. »
Bien qu'il n'y ait plus de message, la Sainte Vierge donne toujours sa bénédiction aux pèlerins et à leurs objets le premier samedi de chaque mois. Avec ses anges, Elle scelle les fronts des pèlerins et leur donne d'innombrables grâces.
A l’Escorial, la Sainte Vierge se présente comme « La Vierge des Douleurs ». Elle vient pour ramener tous ses enfants à son Divin Fils Jésus. Elle transmet des messages de Prière, Repentance, Sacrifice pour le monde. C’est seulement grâce à une prière continuelle qui sera amené par son intercession maternelle comme un bouquet d’amour devant le trône de Dieu, que les cœurs de l’humanité pourront éventuellement s’ouvrir. Elle est la mère de tous et ses messages et avertissements doivent être pris très au sérieux.
Lire la suiteLe 19 septembre 1846, 16 ans après les apparitions mariales de la rue du Bac à Paris et 12 ans avant les fameuses apparitions de Marie à Lourdes, Notre Sainte Mère apparut, à environ trois heures de l’après midi, en plein soleil, sur une montagne de 2000m dans les Alpes françaises et à quelques kilomètres du village de La Salette-Fallavaux, pleurant, à deux jeunes bergers. Marie parla aux enfants, Mélanie Calvat de quinze ans et Maximin Giraud de onze ans, de beaucoup de choses qui faisaient souffrir son Fils. Les deux jeunes étaient très ignorants. Ils virent une « belle dame » dans une lumière resplendissante, habillée d’un costume étrange. Elle parla alternativement en français et en patois. Elle les chargea de transmettre un message à tout son peuple.
Maximin après une vie errante et malheureuse, revint à Corps, son village natal, et mourut solitaire le 1er mars 1875. Mélanie termina sa vie, pas moins aventureuse, à Altamura, en Italie le 15 décembre 1904.
Lire la suiteMontichiari, avec son bourg annexe Fontanelle, est une petite ville de l'Italie du Nord, à 20 km de Brescia, la ville épiscopale. Elle est située au pied des Alpes italiennes, déjà dans la plaine fertile du Pô et peut se traduire en français par : montagne lumineuse. Sur une hauteur avancée se trouve le vieux château de Marie et la vénérable église San Pancrazio.
Pierina Gilli (1911- 1991) était infirmière à l'hôpital de Montichiari.
La Sainte Vierge lui apparut la première fois dans une chambre de l'hôpital au printemps 1947. Il y eut deux séries d’apparitions, l’une en 1947 et l’autre en 1966.
L’évêque a autorisé la prière des fidèles. Il invite à développer à Fontanelle la prière et la ferveur, la confession et l’enseignement.
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Schio est une ville de 40000 habitants, située dans la province et le diocèse de Vicenza. Elle se dresse dans le Val Leogra, là où se termine la plaine et où commencent les premières ondulations des Préalpes dolomitiques.
LES FAITS - Début des apparitions
Le 25 mars 1985, Renato Baron s'était rendu dans la petite église de San Martino pour y assumer sa tâche de gardien. Il avait interrompu le travail pour s'agenouiller dans un banc et prier devant la statue de Notre-Dame du Rosaire lorsque, tout à coup, dit-il, "j'ai senti mon corps mourir et mon âme s'évanouir... Je ne voyais plus rien autour de moi, je ne sentais plus rien... La statue de la Madone se mit à parler, à bouger ; elle souriait et avait de très beaux yeux. Elle me dit : "Je t'attendais déjà hier. Désormais tu viendras régulièrement ici, parce que je dois te parler de beaucoup de choses... et puis tu écriras. Pour le moment, attends ; reviens demain et je te dirai le reste." Lorsque l'apparition prit fin, Renato demeura si bouleversé qu'il s'enfuit, oubliant même de fermer la porte à clé. Le lendemain, il retourna à la petite église pour fermer la porte. Arrivé sur place, il se sentit poussé à entrer pour prier. Renato raconte : "Je me mis à genoux devant la statue et commençai à prier. J'ai fait des lectures et prolongé ma prière, tout en souhaitant qu'il ne m'arrive pas ce qui était advenu la veille... En réalité, j'avais peur... Mais Marie se manifesta une nouvelle fois. De nouveau je me suis senti mourir, j'ai senti mon esprit sortir de moi, tandis que la voix répétait : "C'est moi, je suis Marie, je suis la Madone, c'est vraiment moi qui parle. Prends au sérieux tout ce que je te dis; désormais tu écriras toutes mes paroles. Je te préparerai... Un jour tu parleras, mais pour le moment tu dois attendre, tu dois préparer ton esprit, parce que nous ferons un cheminement de foi... Je mettrai à tes côtés des amis, des apôtres qui aiment Marie... Je te les enverrai et tu feras un long chemin avec eux, parce que, vous et moi, nous devrons ensemble convertir un grand nombre d'âmes et les conduire à Jésus." Ce jour-là, lorsque je revins à moi, je ne me suis plus enfui ; au contraire, j'ai ressenti une grande joie au-dedans de moi." Désormais, il n'avait plus de doutes : c'était vraiment la Sainte Vierge qui lui apparaissait.
A partir du 3 avril 1985, la Sainte Vierge confia à Renato des messages et l'invita à les écrire pour les transmettre au monde.
Pourquoi ces apparitions ?
La réponse à cette question nous a été donnée par la Sainte Vierge elle-même dans le message du 3 avril 1985. Le voici : "Prie et offre tes sacrifices, puisque ce n'est que par la prière que les hommes pourront se sauver. Même ceux qui viennent à l'église ne sont pas suffisamment croyants. Voici pourquoi j'interviens : pour faire la Volonté du Père. Tournez-vous toujours vers le Père, car Il peut tout. Le monde est en train d'aller à sa perte."
L’appel d’une mère :
Bénissons le Père, le Fils et le Saint Esprit. Mes enfants, je suis en train de descendre au milieu de vous aussi visiblement, sans laisser le Père mais enveloppée par l’Esprit Saint, je prends soin de vous comme autant de Jésus : je vous aime avec le même amour avec lequel j’ai serré dans mes bras mon petit Dieu. Je serai avec vous toujours comme en ce merveilleux jour qui voit encore beaucoup de mes enfants consacrés à mon Cœur de maman.
Je vous bénis : apportez ma bénédiction maternelle à toutes les personnes qui vous sont chères. (9 mai 2002)
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Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus et de la Sainte Face naquit le 2 janvier 1873, à Alençon. Elle était la dernière enfant de ses parents Louis et zélie Martin qui eurent 9 enfants. Cinq filles parvinrent jusqu’à l’âge adulte. Sa mère mourut en 1877 quand Thérèse avait quatre ans. Son père, un fabricant de montres, vendit son affaire et déménagea à Lisieux pour se rapprocher de l’oncle maternel de Thérèse (Isidore Guérin, pharmacien) qui y vivait avec sa femme et deux filles.
Quand Thérèse eut neuf ans sa sœur Pauline qui avait joué le rôle de seconde maman pour Thérèse, entra dans l’ordre des carmélites. Marie, sa seconde sœur, entra également dans le même couvent. Thérèse voulut y aller aussi, mais elle était trop jeune. Son père l’emmena faire un pèlerinage à Rome. Lors d’une audience générale avec le pape Léon XIII, elle lui demanda de lui donner l’autorisation pour entrer chez les carmélites. Le pape lui répondit « Mon enfant, faites ce que vos supérieurs décident ». Finalement en avril 1988, elle devint sœur carmélite. Céline, son autre sœur, entra bientôt dans la communauté. Léonie, la dernière sœur fut admise dans l’Ordre de la Visitation.
Les dernières années de Thérèse furent marquées par un continuel déclin physique dû à la tuberculose. Elle supporta résolument et sans se plaindre ses souffrances. En juillet 1897, on la transporta à l’infirmerie du monastère où elle mourut le 30 septembre, à l’âge de 24 ans. Sur son lit de mort, elle dit : « J’ai atteint le point de ne pas pouvoir souffrir davantage, car toute souffrance m’est douce ».
Thérèse, connue aussi comme « La Petite Fleur de Jésus », fut canonisée le 17 mai 1925 par le pape Pie XI. C’était 28 ans seulement après sa mort. Elle est fêtée le 1er octobre. Elle est la patronne des malades du SIDA, des aviateurs, des fleuristes, des missions. En 1944, le pape Pie XII la nomma co-patronne de la France avec Ste Jeanne d’Arc. En 1997, le pape Jean Paul II la déclara trente troisième Docteur de l’Eglise Universelle.
Lire la suiteLa Sainte-Baume est d’abord une curiosité géologique : sa barre rocheuse, qui s’allonge sur douze kilomètres, a surgi des fonds marins à l’ère secondaire et sa forêt, protégée par la falaise, est une « relique » de celle qui couvrait la Provence à la fin du tertiaire. Cette forêt-relique, fut remarquablement protégée par les rois de France, tout au long des siècles. Forêt millénaire, la Sainte-Baume est un des lieux religieux les plus anciens du monde occidental.
La grotte naturelle creusée par l’érosion (baumo, en provençal) est devenue un des lieux de pèlerinage les plus anciens du monde chrétien : sainte Marie-Madeleine y aurait vécu trente-trois années de sa vie.
A son arrivée en Provence, Marie-Madeleine, l’Apôtre des apôtres, s’y serait retirée après avoir prêché la Bonne Nouvelle à Aix, puis à Marseille.
L’abbaye de Vézelay était bénédictine, de l’ordre de Cluny. Elle se situait au départ d’une des quatre grandes routes françaises pour les pèlerins se rendant à Saint Jacques de Compostelle en Galicie, au nord-ouest de l’Espagne.
Selon la légende, un peu avant la fin du premier millénaire, un moine nommé Baudillon apporta des reliques (os) de Marie Madeleine à Vézelay, en provenance de Saint-Maximin-La-Sainte-Baume. En 1058, le pape confirma l’authenticité des reliques, amenant un afflux de pèlerins qui continue jusqu’à ce jour. En 1104, une nouvelle église fut commencée pour accueillir tous ces pèlerins.
Saint Bernard de Clairvaux y prêcha la Seconde Croisade, en 1146. Richard I d’Angleterre et Philippe II de France se rencontrèrent à l’abbaye et séjournèrent là pendant trois mois avant de partir pour la Troisième Croisade.
Le début du déclin de Vézelay coïncida avec la découverte bien médiatisée en 1279 du corps de Marie Madeleine à Saint-Maximin-La-Sainte-Baume, en Provence. Les Moines dominicains du lieu établirent rapidement la liste des miracles perpétués par ces reliques. Cette découverte mina considérablement la position de Vézelay en tant que sanctuaire principal de Madeleine en Europe.
Après la Révolution, Vézelay menaçait de s’effondrer. En 1834, le tout nouvel Inspecteur français des monuments historiques, Prosper Mérimée (plus connu comme étant l’auteur de Carmen), informa de l’état de l’église. Le jeune architecte Eugène Viollet-le-Duc fut nommé pour superviser une restauration importante et réussie qui s’effectua en plusieurs tranches.
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La Médaille miraculeuse est le nom que la dévotion populaire catholique a donné à une médaille créée suite aux apparitions de la Sainte Vierge de 1830, au 140 de la rue du Bac, à Paris.
Catherine Labouré, religieuse novice au couvent des sœurs de la Charité de saint Vincent de Paul, raconta à son confesseur, le père Aladel, avoir vu la Vierge Marie.
Cette médaille fut frappée à la demande expresse de la Mère de Dieu, faite au cours de la deuxième apparition du 27 novembre 1830, comme un témoignage d'amour, gage de protection et source de grâce.
Prière à Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse
O Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse, vous avez voulu apparaître à Sainte-Catherine Labouré comme la Médiatrice de toutes les Grâces, écoutez-moi, je Vous implore !
Je remets entre Vos mains maternelles toutes mes intentions, tous mes intérêts spirituels et temporels.
Je Vous confie la grâce que j'ose solliciter de Votre Bonté, Vous suppliant humblement d'en parler à Votre Divin Fils et de Lui demander de m'exaucer, si cette grâce que j'implore est bien conforme à Sa Volonté et au bien de mon âme.
Après avoir élevé Vos mains suppliantes vers le Seigneur, daignez, ô Vierge Puissante, les abaisser sur moi, m'envelopper de Vos rayons de Grâces afin qu'à la lumière et à la chaleur de ces rayons, mon âme se dégage des choses d'ici-bas, se purifie et marche joyeusement à Votre suite, jusqu'au jour où Vous m'accueillerez à la porte du Ciel. Amen.
Pourquoi tant de rois, de papes, de fidèles et de saints sont-ils venus se recueillir aux pieds de la mystérieuse Vierge du Puy ? Pourquoi tant de pèlerins encore aujourd’hui ?
A cause des prodiges multipliés par Marie. Les deux premières visions mariales se déroulèrent au Puy en Velay, sur la colline du culte marial : l'une au 1er siècle et la suivante au 5ème siècle. Elles sont étroitement liées à un site mégalithique dont le vestige « Dalle ou pierre des fièvres » existe toujours sur le site. Cette pierre aa été protégée par les évêques dès la construction d’un sanctuaire vers 430, à l’époque du concile d’Ephèse qui reconnut la maternité divine de Marie.
Au temps de saint Georges, premier évêque de Velay, au 1er siècle, une veuve nommée Vila, était atteinte depuis longtemps d’une forte fièvre dont elle n’arrivait pas à se débarrasser.
La Vierge lui apparut et lui demanda d’aller sur le Mont Anis, baptisé aussi rocher Corneille, et de s’allonger sur une dalle mégalithique. La veuve s’en relève guérie. La Vierge lui demanda d’aller trouver l’évêque Georges pour qu’il construise sur les lieux une église qui lui soit dédiée. Certaines versions de l’histoire du Puy détaillent qu’au 5ème siècle, une paralytique est miraculée par le même procédé.
Par la suite ce serait saint Louis qui, de retour des croisades, serait venu offrir la célèbre Vierge noire. Cette statue fut brûlée à la Révolution, en même temps que 7 prêtres étaient martyrisés.
L’évêque du Puy, Adhémar de Monteil, vers l’an 1100, écrivit le « Salve Regina », cri de supplique de l’homme « gémissant et pleurant en cette vallée de larmes » et la confiance du chrétien en la miséricordieuse, clémente et douce Vierge Marie.
Lire la suiteLe Laus est à peine à 80 km de la Salette. Le village de Saint Etienne d'Avançon fait partie, actuellement du diocèse de Gap. A l'époque des apparitions, il appartenait au diocèse d'Embrun.
Les guerres de Religion, au 16ème siècle entre catholiques et protestants calvinistes laissent inutilisables 120 des 190 églises du diocèse de Gap.
Le « siècle de Marie » s’achève vers 1660, lorsque les jansénistes commencent à critiquer les « abus » de la dévotion. C’est alors que commencent une série d’apparitions de Notre-Dame et simultanément les premières critiques restrictives à l’endroit de pèlerinages, tant de la part de l’autorité ecclésiastique que du pouvoir royal.
Ces apparitions au Laus, par leur durée et leur spiritualité, apparaissent comme une réponse au jansénisme. Le jansénisme, rigoriste, sévère envers les pécheurs, hostile à la communion fréquente et aux pèlerinages, se voit opposer, par des apparitions mariales, une religion plus miséricordieuse, où l’Eucharistie est exaltée, où les pécheurs sont appelés à la conversion et au pèlerinage.
De 1664 à 1718, la Sainte Vierge apparait à une bergère illettrée, Benoîte Rencurel. La Mère de Dieu demande alors la construction d'un Sanctuaire au Laus, annonçant que beaucoup viendraient s'y convertir. La Vierge Marie voulait que soit construit un édifice à offrir aux hommes, où ceux-ci pourraient changer leur cœur pour mieux aller à son Fils, le Christ.
Lire la suiteEn 1858, une jeune fille prénommée Bernadette déclara avoir assisté à 18 apparitions d'une Dame qui se présenta comme étant l'Immaculée Conception à Lourdes.
Ces apparitions s’étalèrent dans le temps (sur 6 mois), même si 12 d'entre elles sont rassemblées en une quinzaine de jours.
Suscitant de vives polémiques, les apparitions que seule la jeune fille vit furent rapidement l'objet d'enquêtes et contre-enquêtes.
Le 18 janvier 1862, (soit quatre ans plus tard) au nom de toute l'Eglise, l'évêque du lieu, Mgr Laurence, publie un mandement par lequel il reconnaît officiellement les apparitions de Lourdes : « Nous sommes [...] convaincus que l'Apparition est surnaturelle et divine, et que, par conséquent, ce que Bernadette a vu, c'est la Très Sainte Vierge. » La Vierge y est depuis honorée sous le vocable « Notre-Dame de Lourdes ».
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La dévotion au Sacré Cœur est surtout le résultat de deux idées bibliques : celle de la charité divine très souvent soulignée et celle de la contemplation approfondie des plaies du Christ, surtout de son cœur blessé.
La dévotion au Sacré-Coeur de Jésus s'est répandue comme incendie dans l'Eglise occidentale depuis les révélations faites à sainte Marguerite-Marie, à Paray le Monial, vers la fin du dix-septième siècle. L'Eglise lui a conféré une autorité particulière. Les papes en ont rappelé et en rappellent encore l'importance. Mais le discours d'aujourd'hui, s'il insiste sur le Cœur de Christ, laisse de côté le mot sacré qui a pris un sens ambigu dans notre société sécularisée, et il emploie avec la plus grande discrétion le mot dévotion devenu franchement péjoratif. Par contre, le mot cœur reste privilégié et le dessin qui le représente connaît un regain d'actualité. Mais suffit-il de dessiner un cœur ou d'employer le mot dans une chanson pour rejoindre ce qu'exprimaient Marguerite-Marie et ses contemporains dans les années 1680 ?
Prières de sainte Gertrude (1256-1302)
Je vous salue, ô Cœur sacré de Jésus, source vive et vivifiante de la vie éternelle, trésor infini de la Divinité, fournaise ardente du divin amour. Vous êtes mon asile et le lieu de mon repos. O mon divin Sauveur, embrasez mon cœur de l'ardent amour dont le vôtre est tout enflammé. Répandez dans mon cœur les grandes grâces dont le vôtre est la source et faites que mon cœur soit tellement uni au vôtre que votre volonté soit la mienne et que la mienne soit éternellement conforme à la vôtre, puisque je désire désormais que votre sainte volonté soit la règle de tous mes désirs et de toutes mes actions.
Bari est connu pour être la ville où se trouvent les reliques de saint Nicolas.
Ce privilège a fait de Bari et de la basilique de Bari l'un des centres importants de l'Eglise orthodoxe en Occident.
Bari est une grande ville portuaire à l’histoire riche. Bari a une forte tradition marchande et est depuis toujours un centre névralgique du commerce et des échanges politico-culturels avec l'Europe et le Moyen-Orient. Son port est actuellement le plus grand port de passagers de la mer Adriatique.
L’ancienne ville est très pittoresque. Les petites ruelles sont ponctuées d’autels à la Vierge et aux saints. La basilique dédiée à Saint Nicolas est à l’entrée de la vieille ville. Les restes de saint Nicolas ont été volés à Myre, en Asie Mineure, par 62 marins de Bari qui les ont ramenés dans leur ville, pour être mis dans la basilique construite pour recevoir les reliques du saint. Ces « héros » sont enterrés dans la basiique.
Lire la suiteLanciano se situe dans la Vallée Sangro, de la province des Abruzzes en Italie. La ville importante la plus proche est Pescara, sur la côte Adriatique
Lanciano, ancienne ville des Frentani, garde depuis douze siècles le premier et le plus grand Miracle Eucharistique de l’Eglise Catholique.
Vers le VIIIème a.c., dans la petite église de saint Legonziano à Lanciano, un moine Basilien, pendant la célébration de la Sainte Messe, après avoir fait la double consécration, vint à douter de la réelle présence du Corps et du Sang du Christ sous les espèces du pain et du vin.
C’est alors que dans les mains du prêtre se réalisa le Miracle : l’hostie devint Chair vivante et le vin devint Sang vivant, en se coagulant et en formant cinq caillots irréguliers de formes et de grandeurs diverses.
L’Hostie-Chair, comme on peut le voir aujourd’hui, a la grandeur de la grande hostie, actuellement en usage dans l’église latine, elle apparaît rosée.
La couleur des cinq caillots de Sang coagulé est terreuse, donnant sur le jaune ocre.
Les Saintes Reliques sont placées dans un Ostensoir, visibles dans l’église de Saint François.
L’office du sanctuaire est assuré par les Frère Mineurs conventuels de la Province Religieuse des Abruzzes.
Dans un salon historique adjacent au sanctuaire, la communauté franciscaine a organisé une exposition à plusieurs niveaux : historique, scientifique en ce qui concerne le Miracle Eucharistique.
Le Sanctuaire dispose d’une grande salle pour visualiser une vidéo sur le miracle eucharistique.
La Sainte Messe peut être célébrée devant les Saintes Reliques.
Lire la suiteLe Mont Cassin est une montagne située à 130 km au sud de Rome, en Italie et à 1,5 km à l’ouest de la ville de Cassin.
Benoît de Nursie établit son premier monastère au sommet du Mont Cassin, (520 m) d’altitude.
Il devint le départ de l’ordre bénédictin aux environs de 529.
Le monastère fut construit sur un site païen ancien, un temple d’Apollon qui couronnait la montagne.
Une fois installé ici, Benoît ne partit plus. C’est au Mont Cassin qu’il écrivit la Règle Bénédictine qui donna les principes fondamentaux au monachisme occidental.
Il reçut ici la visite de Totila, roi des Ostrogoths en 580 et mourut peu après.
Il fut enterré dans la même tombe que celle de sa sœur, sainte Scholastique, moniale d’un couvent voisin.
Lorette est une ville de l’Italie centrale, de la région des Marches, près de la mer Adriatique.
La Sainte Maison de Lorette est l’habitation de la Vierge Marie de Nazareth.
C’est la demeure même dans laquelle la Vierge Marie a vécu, conçu et élevé Jésus enfant.
C’est pourquoi Jean Paul II a pu dire que La « Sainte Maison de Lorette, premier sanctuaire de portée internationale dédié à la Vierge, a été pendant plusieurs siècles, le vrai cœur marial de la chrétienté » (Jean Paul II).
C’est en 1291 durant les Croisades que la maison a été déplacée en Croatie. Puis en 1294 a été installée à Lorette.
En 1510 le sanctuaire a reçu l’approbation pour devenir un pèlerinage officiel.
Lire la suitePompéi est situé près de Naples, dans la région italienne de la Campanie.
Le bienheureux Bartolo Longo (1841-1926) évangélisa les populations grâce au rosaire, Il restaura l’église, construisit un sanctuaire à Notre-Dame, dans lequel il plaça un tableau du Rosaire.
Il fonda « la Nouvelle Pompéi », une terre de résurrection et de vie, tirant ses origines des fondements chrétiens.
Bartolo Longo décida d’associer la pratique de la dévotion du Saint Rosaire à une rédemption civile et sociale des personnes. Il construisit des écoles pour les orphelins, les enfants de prisonnier.
Il fut béatifié le 26 octobre 1980 par le Pape Jean Paul II. Il repose dans la Basilique de Notre-Dame du Très Saint Rosaire à Pompéi.
Lire la suiteVenise est une ville portuaire du nord-est de l'Italie, sur les rives de la mer Adriatique.
Elle s'étend sur un ensemble de 118 petites îles séparées par un réseau de canaux et reliées par des ponts.
Située au large de la lagune vénète, entre les estuaires du Pô et du Piave, Venise est renommée pour cette particularité, ainsi que pour son architecture et son patrimoine culturel – elle et sa lagune sont inscrites au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Fondée peu après 528, elle fut la capitale pendant onze siècles (697-1797) de la République de Venise. Durant le Moyen Age et la Renaissance, la ville fut une grande puissance maritime, à l'origine de la Quatrième croisade et victorieuse lors de la bataille de Lépante en 1571 contre l'Empire ottoman.
Grâce à ses liens avec l'Asie et le Proche-Orient, dont le marchand et explorateur Marco Polo fut l'initiateur, elle devint également l'une des principales places commerciales d'Europe, notamment de la soie, des céréales et des épices.
Enfin, elle est un centre culturel majeur, du XIIIe à la fin du XVIIe siècle, dont les peintres de l’Ecole vénitienne (dont Titien,Véronèse et Le Tintoret), Carlo Goldoni et Antonio Vivaldi sont les principaux représentants.
Son nom provient du peuple qui habitait la région avant le X, les Veneti. Dénommée Venetiae en latin, elle est parfois surnommée la « Cité des Doges », la « Sérénissime », la « Reine de l'Adriatique », la « Cité des Eaux », la « Cité des Masques », la « Cité des Ponts » ou encore la « Cité flottante ».
La ville est aujourd'hui célèbre pour ses canaux - notamment le Grand Canal - et ses gondoles, ses nombreuses églises, la place Saint-Marc, le palais des Doges, le Pont des Soupirs, sa Biennale ainsi que son carnaval.
Lire la suiteMarthe Robin, cette petite paysanne de la Galaure (40km de Valence) a traversé le XXème siècle (1902-1981).
Dès son plus jeune âge elle prie sans cesse la Sainte Vierge, elle aime Dieu et Le rencontre avec amour dans les Sacrements.
Puis, Marthe à 16 ans (1928) entre dans la maladie qui sont des préparations de Dieu. Pour l’aider à traverser ces souffrances intolérables (elle souffrait de la tête de façon ininterrompue ; elle ne mangeait pas, elle était paralysée d’un côté et ses yeux ne pouvaient supporter la lumière), la Sainte Vierge va lui apparaître en 1921.
Et petit à petit, Marthe va accepter et faire le choix de la croix que Jésus lui propose. Bien sûr, cette acceptation a été graduelle.
Elle vivra une crucifixion pendant plus de 50 ans, revivant la Passion du Christ chaque vendredi, ne mangeant plus que l'Eucharistie, ne buvant plus, ne dormant plus. Elle fut vraiment "la petite crucifiée d'amour".
Prière de Marthe Robin :
Seigneur mon Dieu, que nourrie chaque jour de votre Corps Sacré,
inondée de votre Sang Rédempteur, enrichie de votre Sainte Ame,
submergée de votre Divinité, je n’aime, je ne désire, je ne cherche, je ne veuille, je ne goûte que Vous.
Que mon cœur et tout mon être soupirent et ne tendent que vers Vous,
que je sois toute vôtre et tout occupée de Vous Seul ;
que je demeure perpétuellement avec Vous, en Vous,
unie à Vous pour être consommée tout entière
dans la fournaise ardente de votre divin Cœur,
filialement unie au Cœur Immaculé de ma Maman chérie
par qui je veux vous glorifier, vous louer, vous servir,
vous obéir à jamais. Ainsi soit-il.
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Le santuaire de Monte Sant’Angelo sur le Gargano, appelé parfois simplement, Mont Gargano, est le sanctuaire le plus ancien dédié à l’archange Michel dans l’Europe occidentale.
En effet, l’archange saint Michel y apparut plusieurs fois à la fin du cinquième siècle.
Le sanctuaire fait partie de la commune de Monte Sant’Angelo, dans la province de Foggia, au nord des Pouilles en Italie.
Ce site est protégé par le Parc National du Gargano.
Lire la suiteAvila est le chef-lieu de la province d'Avila dans la communauté autonome de Castille-et-León enEspagne.
Située à 1 182 mètres d'altitude, dans une enclave rocheuse sur la rive droite de l'Adaja, affluent du Douro, elle est la capitale de province la plus haute d'Espagne.
La ville a pour particularité d'être entourée d'une muraille médiévale, de style roman, entièrement conservée.
Sainte Thérèse "la grande", pour la distinguer de sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, "la petite" est la figure marquante de cette ville où elle a fondé son premier monastère dédié à saint Joseph
Avila est donc une ville située au coeur de l'Espagne qui rayonna sur toute la péninsule grâce à sainte Thérèse. Elle ne construisit pas moins de 20 monastères et réforma l'orde des Carmes avec l'aide de saint Jean de la Croix
Lire la suiteNotre-Dame de Banneux (ou ‘Vierge des pauvres’) est le nom sous lequel les fidèles catholiques désignent la Vierge Marie en tant qu'elle serait apparue plusieurs fois à Mariette Beco entre le 15 janvier et le 2 mars 1933, près de chez elle, à Banneux, un village au sud de Liège, en Belgique
La réalité des Apparitions et du Message a été reconnue par Mgr. KERKHOFS, évêque de Liège, le 22 août 1949.
Invocations à la Vierge des Pauvres
Sainte Vierge des Pauvres, conduisez-nous à Jésus, Source de la grâce,
Sainte Vierge des Pauvres, sauvez les Nations,
Sainte Vierge des Pauvres, soulagez les malades,
Sainte Vierge des Pauvres, soulagez la souffrance,
Sainte Vierge des Pauvres, priez pour chacun de nous,
Sainte Vierge des Pauvres, nous croyons en Vous,
Sainte Vierge des Pauvres, croyez en nous,
Sainte Vierge des Pauvres, nous prions beaucoup,
Sainte Vierge des Pauvres, bénissez-nous ( +),
Sainte Vierge des Pauvres, Mère du Sauveur, Mère de Dieu, merci.
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Saint-Jacques-de-Compostelle se trouve en Galice, au nord ouest de l’Espagne, dans la province de La Corogne.
Saint Jacques le Majeur aurait quitté le Proche-Orient avec pour mission de prêcher la parole du Christ dans la péninsule ibérique.
Rentré en Palestine, il fut décapité.
Son corps fut recueilli par ses compagnons, porté dans une embarcation qui s’échoua sur les côtes de Galice.
Son tombeau aurait été retrouvé au début du IXème siècle, par l’ermite Pelagius qui déclara avoir eut une révélation dans son sommeil. Il aurait été guidé par une étoile dans le ciel, d’où le nom Campus Stellae ou champ de l’étoile.
Théodomir, évêque d’Ira-Flavia, reconnut ce tombeau comme étant celui de Saint Jacques.
Ce qui est incompréhensible c’est comment ce culte local à un saint s’est transformé en un pèlerinage international qui amène depuis un millénaire et encore aujourd’hui six millions de pèlerins par an qui viennent de partout dans le monde.
L’apparition de Notre Dame du Pilier à l’apôtre Jacques à Saragosse est la première apparition connue de la Vierge Marie en Europe.
Il s'agit d'une visite de la Sainte Vierge, qui vient physiquement, c'est-à-dire, en son corps "terrestre", avant son Assomption.
Cette visite a eu lieu 7 ans après la mort de Jésus car il est rapporté que ce mystère advint la nuit du 2 janvier de l'an 40, au Nord de l'Espagne, à Saragosse.
En effet, l'apôtre Saint Jacques le Majeur (de Zébédée, frère de Jean) évangélisait depuis peu l'Europe, précisément l'Espagne. Mais il était plus facile de le dire que de le mettre en pratique !
Le pauvre apôtre, malgré son zèle apostolique, ses prières et sa patience, ne recevait en retour que moqueries, mépris, coups, et fut emprisonné par un peuple enténébré.
Mais ses prières désespérées furent entendues du Père qui appela la Sainte Vierge à venir en aide à Jacques.
Du 29 novembre 1932 au 3 janvier 1933, cinq enfants de Beauraing, dans la province de Namur en Belgique ont été témoins, à 33 reprises, des apparitions de Notre-Dame.
Les événements se sont déroulés dans le jardin du pensionnat Notre-Dame du Sacré-Cœur tenu par les Sœurs de la Doctrine Chrétienne de Nancy.
Après bien des réticences et des oppositions, la véracité de leurs dires fut, en conclusion d'une enquête rigoureuse, reconnue par l'autorité diocésaine: le culte fut autorisé en 1943, et le caractère surnaturel des faits reconnu en 1949. Dès le début, les pèlerins affluèrent aux pieds de "Notre-dame au Cœur d'Or", sous l'Aubépine, en réponse sa demande."Que l'on vienne ici en pèlerinage!".
PRIÈRE À NOTRE DAME DE BEAURAING
Notre Dame de Beauraing, Vierge immaculée, porte à Jésus, ton Fils, toutes les intentions que nous te confions aujourd'hui.
Mère au Cœur d'or, reflet de la tendresse du Père, regarde avec amour les hommes et les femmes de notre temps, et comble-les de la joie de ta présence.
Toi qui as promis de convertir les pécheurs fais-nous découvrir l'infinie miséricorde de notre Dieu. Éveille en nous la grâce de la conversion afin que toute notre vie devienne le reflet de cette miséricorde.
Sainte Mère de Dieu, penche-toi sur nos misères ; console-nous dans nos peines ; donne force et réconfort à tous ceux qui souffrent.
Reine des cieux, couronnée de lumière, aide-nous à grandir dans la foi, l'espérance et l'amour, et nous pourrons rendre grâce sans fin.
Tu as mis Jésus au monde ; puissions-nous, par la prière, le partage de sa Parole et le témoignage d'une vie remplie d'amour et de joie, Le faire naître dans tous les Cœurs.
Fais que chaque instant de notre existence soit un OUI à la question que tu nous poses aujourd'hui : "Aimez-vous mon Fils ? M'aimez-vous ?"
Alors le règne de Jésus viendra dans le monde. Amen.
Lire la suiteLimpias est une ville espagnole située dans la communauté autonome de Cantabrie.
Dans les premiers jours d'avril 1919, la presse de Santander remplit ses colonnes de la relation d'un fait prodigieux, survenu le 30 mars, dans l'église paroissiale de Limpias, village à 48 km de Santander et à 72 de Bilbao.
Ce 30 mars, la paroisse clôture une mission, prêchée par deux capucins : le RP Jalon et le RP San Miguel. Comme ils se doit, les paroissiens - y compris les enfants - remplissent l'Église. Tous participent à la communion générale. Après avoir reçu le pain des Anges, une fillette de douze ans, vêtue de blanc, se dirige en toute hâte vers le Père Jalon et lui dit avec une intense émotion : "Le Christ remue les yeux, Il regarde d'un côté et d'un autre". Après le premier instant de surprise, le père se prend à douter: "Si l'enfant avait une hallucination ?". Il n'a pas le temps de s'arrêter à cette pensée: une seconde enfant vient à lui, affirmant : "J'ai vu le Seigneur fermer et ouvrir les yeux". Après les enfants, accourent de grandes personnes de différents âges, de l'un et l'autre sexe, attestant toutes ce qu'elles ont vu : "Le Christ porte ses regards en diverses directions". Certaines ont, de plus, observé une sueur abondante sur le Corps du Christ.
Devant la candeur des enfants, la ferme certitude des grandes personnes, les Pères ne peuvent douter de la sincérité des voyants, ni écarter l'idée d'un prodige. Ils demandent le silence pour prier. Tous se prosternent devant la Face du Saint Christ, en une fervente oraison. Monsieur le Curé est à la sacristie, inscrivant sur les registres le nom des paroissiens ayant accompli le précepte pascal. On vient l'avertir de ce qui se passe. Il se rend à l'église. Emu du spectacle qui s'offre à lui, il ne peut faire autre chose que tomber à genoux, devant le Crucifix.
Le prodige se répète le 11 avril, devant des voisins de Limpias : pourtant bon catholiques, ils s'étaient moqué de la crédulité des témoins du 30 mars !... Les phénomènes miraculeux sont encore observés le 20 avril (jour de Pâques), par divers visiteurs. Puis, les manifestations se reproduisent, presque chaque jour, en faveur de tels ou tels pèlerins. Depuis le 30 mars, en moins d'un an, défilent devant le Saint Christ plus de 120.000 personnes : 971 témoins attestent avoir vu des transformations extraordinaires, surnaturelles, sur le Christ de bois sculpté du Crucifix de l'église. Les signataires de ces témoignages appartiennent à toutes les classes sociales : magistrats, ingénieurs, publicistes, étudiants, ouvriers, ... Comme on peut le penser, les incrédules ne manquent pas d'accuser ces témoins d'ignorance, d'hallucination, de suggestion, d'illusion, de fanatisme... Mais ces témoins font preuve de totale loyauté, tout au cours de leur vie, dans l'exercice de leurs professions, dans l'accomplissement de leurs devoirs et des lois morales.
L'oratoire Saint-Joseph est une basilique catholique située à Montréal (Québec), sur le flanc nord-ouest du Mont Royal.
Les dimensions de la basilique et de son dôme sont impressionnantes. Le dôme a 60 m de hauteur interne et 39 m de diamètre et sa croix, c’est le point culminant de Montréal, Dans les jardins de l'oratoire, on peut suivre un chemin de croix grandeur nature, inauguré en 1951, peuplé de sculptures représentant la Passion du Christ.
Inauguré en 1904 à l'initiative du frère André, les travaux de l'ensemble du lieu se terminèrent en 1967.
C'est le lieu de pèlerinage le plus important dédié à saint Joseph à travers le monde. Il attire environ deux millions de visiteurs chaque année, provenant de toutes les parties du monde. C'est aussi la plus grande église du Canada.
L'Oratoire a été reconnu comme un lieu historique national du Canada le 3 mai 2004. Il a été désigné en tant que l'un des cinq sanctuaires nationaux du Canada par la Conférence des évêques catholiques du Canada.
Saint Pérégrin Laziosi (né à Forlì en Italie vers 1265 et mort le 1er mai 1345 dans la même ville) était un religieux servite italien de la fin du xiiie et du début du xive siècle, reconnu comme saint par l'Eglise catholique. Il est le saint patron des malades incurables, prié aujourd'hui par les cancéreux et les sidéens.
Dans sa jeunesse, Pellegrino Laziosi milita chez les Gibelins (selon la tradition, c'était le cas dans beaucoup de familles à Forli), ce qui le conduisit à s'opposer au frère Philippe Benizi, alors Prieur général de l'Ordre des Servites de Marie (la légende veut que Pellegrino lui ait donné une gifle), ensuite il se convertit et, vers trente ans, à la demande de ses supérieurs, est ordonné prêtre dont il est maintenant un des saints les plus célèbres et les plus vénérés.
Vers 60 ans, il fut miraculeusement guéri de la gangrène à la jambe droite, la veille du jour où il allait être amputé. Cette nuit-là, veille de l'opération, Pérégrin se traîne devant le crucifix de la salle du chapitre pour y prier. S'étant endormi de lassitude, il voit le Seigneur Jésus descendre de la croix et lui guérir la jambe. Le matin, le médecin qui vient pour procéder à l'amputation, ne trouve plus trace ni de plaie ni de cicatrice. Stupéfait, il répand dans toute la ville la nouvelle de cette guérison miraculeuse, ce qui accroît encore la vénération dont on entourait le frère. Motif pour lequel aujourd'hui il est connu partout dans le monde comme le protecteur des malades du cancer.
Il mourut au Couvent de Forli, le 1er mai 1345. Son corps repose dans une châsse revêtu d'une bure et d'une étole en la basilique qui porte son nom à Forli.
Prière à saint Pérégrin
Dieu qui, en saint Pérégrin, nous a donné un modèle de conversion et de persévérance, accorde-nous, à sa prière et à son exemple, de supporter avec courage les épreuves de cette vie pour entrer dans la joie du Royaume. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur. Amen.
Prière pour être préservé ou guéri du cancer :
Seigneur Jésus Crucifié qui fut toi-même le médecin de Saint Pérégrin en le guérissant d'une plaie cancéreuse, accorde-nous par son intercession la grâce de t'aimer dans un service amoureux de notre entourage. Par l'entremise de ce grand saint, patron de ceux qui souffrent du cancer, préserve-nous de cette maladie. Accorde la santé aux malades qui en sont atteints si c'est pour leur bien et ton bon vouloir. Marie bonne Maman, donne-nous ton Fils pour qu'il nous préserve du cancer qui ronge notre vie chrétienne. Amen.
Saint Pérégrin, prie pour nous.
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La basilique-cathédrale Notre-Dame de Québec est l'église primatiale du Canada et le siège de l'archidiocèse de Québec.
Elle est située dans l'arrondissement historique du Vieux-Québec à Québec. Elle a été classée monument historique en 1966.
La Basilique-cathédrale Notre-Dame de Québec est le lieu de la première « Porte Sainte » en Amérique, soit première hors de l'Europe et septième dans le Monde.
Elle fut inaugurée en le dimanche 8 décembre 2013, jour de la solennité de l'Immaculée Conception, lors de l'ouverture des fêtes du 350e anniversaire de la paroisse Notre-Dame de Québec : Eglise-mère et première paroisse catholique d'Amérique du Nord, au Nord du Mexique et des colonies espagnoles, et siège primatiale de l'Eglise catholique qui est en Canada.
Lire la suiteSainte-Anne-de-Beaupré est une ville du Québec, située dans la municipalité régionale de comté de La Côte-de-Beaupré, dans la région administrative de la Capitale-Nationale.
Sainte-Anne-de-Beaupré est reconnue mondialement pour son sanctuaire catholique, la Basilique Sainte-Anne de Beaupré.
Ce lieu de pèlerinage attire quelques centaines de milliers de visiteurs chaque année.
Le Sanctuaire Notre-Dame-du-Cap a été désignée en tant que l'un des cinq sanctuaires nationaux du Canada par la Conférence des évêques catholiques du Canada.
Les grandes dates de l’histoire du Sanctuaire
1634 Arrivée des missionnaires jésuites, dont le père Jacques Buteux en 1639. Il meurt martyr en 1652 dans la Haute-Mauricie.
1659 Construction d’une première chapelle par Pierre Boucher sur un terrain appelé fief Sainte-Marie.
1714 Début de la construction de la première église paroissiale construite en pierre. Cette église, inaugurée en 1720 et construite sous le Régime français, est l’une des plus anciennes églises du Canada. On la nomme aujourd’hui Petit Sanctuaire.
1854 En l’année de la proclamation du dogme de l’Immaculée Conception, un paroissien fait don à l’église d’une statue de la Vierge. Cette statue de Notre-Dame du Cap, placée au dessus de l’autel, est toujours vénérée dans le Petit sanctuaire.
1879 Les paroissiens veulent une nouvelle église plus grande. Ils doivent traverser les pierres sur le fleuve gelé en hiver. Le temps doux de l’hiver 1879 les empêche de faire ce travail. Le curé, l’abbé Luc Désilets demande aux paroissiens de réciter le chapelet. Un pont de glace se forme sur le fleuve. Ce pont est appelé Pont des chapelets. Le curé Désilets fait le vœu de conserver la petite église et de la dédier à Marie.
1888 Le 22 juin, la petite église est consacrée à Marie. Le soir de ce jour, le Père Frédéric o.f.m., l’abbé Luc Désilets et M. Pierre Lacroix voient la statue de la Vierge ouvrir les yeux. En 1904, cette statue de Notre-Dame-du-Cap est couronnée par le délégué du pape Pie X.
1902 Arrivée des Oblats de Marie Immaculée comme gardiens du Sanctuaire. Par la suite les terrains sont aménagés et les pèlerinages se font de plus en plus nombreux.
1947 à 1954 Une statue pèlerine de Notre-Dame du Cap fait une tournée dans tout le Canada. Cette tournée se termine en 1954 au Congrès marial national qui s’est déroulé au Sanctuaire Notre-Dame-du-Cap. Second couronnement de la Vierge par le délégué du pape Pie XII.
1955-1964 Construction de la basilique. L’architecte en est Adrien Dufresne.
1984 Le 10 septembre, pèlerinage du pape Jean-Paul II. Il a été accueilli par une foule évaluée à 75 000 personnes.
1988 Célébration du 100e anniversaire du Sanctuaire Notre-Dame-du-Cap. Le 25 septembre, béatification à Rome du co-fondateur le Père Frédéric o.f.m.
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Kateri Tekakwitha « Celle qui avance en hésitant » en langue iroquoise (1656-1680), est aussi connue comme le «lys des Mohawks ».
Elle est née à Ossernenon sur les rives de la rivière Mohawk, aujourd'hui située dans l'Etat de New York. Elle fut une jeune Agnière convertie au christianisme.
Après sa béatification par Jean-Paul II en 1980, un décret portant sur un nouveau miracle a été signé en décembre 2011 et a permis qu'elle soit déclarée sainte par l'Eglise catholique.
Elle devient ainsi la toute première autochtone d'Amérique du Nord à être canonisée, lors d'une cérémonie qui s'est déroulée le 21 octobre 2012 et présidée à Rome par le pape Benoît XVI.
L'Ile-Bouchard est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.
Le 8 décembre 1947 en début d’après-midi, à l’Ile-Bouchard, quatre petites filles ont vu dans l’église paroissiale Saint-Gilles une apparition de la Vierge Marie accompagnée de l’ange Gabriel.
Les apparitions durent jusqu’au 14 décembre 1947.
La paroisse, d’abord sceptique, finira par être convaincue. Une guérison inexplicable de la vue d’une des voyantes, et un rayon de soleil extrêmement vif, qui suit un trajet impossible, constituent des signes pour les assistants.
Le sanctuaire est depuis l’objet d’un pèlerinage.
Par décret du 8 décembre 2001, à la suite d’une enquête, monseigneur André Vingt-Trois, alors archevêque de Tours, « autorise ces pèlerinages et le culte public célébré en l'église paroissiale Saint-Gilles de L'Ile-Bouchard».
Depuis 1999, les pèlerinages et les paroisses environnantes sont animés par des prêtres et laïcs de la communauté de l'Emmanuel.
Des pèlerinages à l'intention de la France s'y rendent régulièrement chaque année, notamment le pèlerinage pour la France à la fin du mois de septembre dont le but est de prier pour la nouvelle évangélisation de la France en faisant appel aussi bien aux pèlerins français qu'aux pèlerins étrangers, issus de pays ayant reçu l'évangile de missionnaires français.
Lire la suiteLe Marillais est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
La Vierge Marie a honoré la France par de nombreuses visites célestes depuis les premières années de son histoire. C’est comme une relation privilégiée entre le ciel et cette nation.
Au IVe siècle, La pensée de l'arianisme affirme que si Dieu est divin, son Fils, lui, est d'abord humain, mais un humain disposant d'une part de divinité.
Le premier concile de Nicée, convoqué par Constantin en 325, rejeta l'arianisme. Il fut dès lors qualifié d'hérésie par les chrétiens trinitaires, mais les controverses sur la nature divine et humaine du Christ se prolongèrent pendant plus d'un demi-siècle.
Saint Hilaire s’oppose vivement à ce courant de pensée théologique. Il est alors exilé en Phrigie. Il écrira de nombreux livres dont La Trinité. Revenu en France, à Poitiers il continue son combat contre l’arianisme.
Saint Martin de Tours le rejoint dans les années 356, se mettant à son école. En 360, Martin fonde l'abbaye de Ligugé à proximité de Poitiers. Hilaire fut probablement à l'origine de la construction à Poitiers du baptistère Saint-Jean, l'un des plus vieux bâtiments chrétiens actuellement subsistant en France.
C'est là que les Tourangeaux vinrent le chercher pour en faire leur évêque. Près de Tours, à Marmoutier, il rassembla à nouveau des dizaines et des dizaines de moines, dont beaucoup devinrent fondateurs, eux aussi, de nouvelles abbayes et, autour d'elles, de nouvelles communautés chrétiennes.
C'est ainsi que Florent, l'un de ces disciples, vint fonder le monastère du Mont-Glonne, au bord de la Loire, à quarante kilomètres entre Angers et Nantes.
Maurille, lui, se fixait également au bord de la Loire, mais plus près d'Angers, à Chalonnes. Il n'y resta que quelques années car, en 423, les chrétiens d'Angers vinrent arracher Maurille à sa solitude, et le supplièrent de devenir leur évêque.
Selon une très ancienne tradition cet événement eut lieu en l'an 430 : un an avant le Concile d'Ephèse.
Au lieu-dit « la Croix du Pichon ", au confluent de l'Evre et de la Loire, la Vierge Marie est apparue à Maurille, qui était venu rendre visite à ses frères, les moines du Mont-Glonne, et descendu au pied du coteau pour y prier dans la solitude.
Voici comment les chroniques rapportent ce fait : « Maurille, évêque d'Angers, était en ce lieu, quand il se vit tout à coup environné d'une lumière céleste. C'était la Très Sainte Vierge, tenant en ses bras son divin Enfant, qui daignait lui apparaître, dans un peuplier. Elle dit à son dévot serviteur que la volonté de Dieu et le bon plaisir de son divin Fils étaient qu’il établît en son diocèse une fête solennelle du jour de sa sainte naissance, le 8 de septembre.
C'est en Anjou que cette fête a commencé à être célébrée. ...»
Depuis environ quinze siècles et pratiquement sans interruption malgré bien des événements contraires, la Vierge Marie est vénérée en ce lieu.
Lire la suiteNous sommes dans la même région que saint Maurille, un peu plus au sud, près de Cholet, très proche du sanctuaire de saint Louis-Marie Grignion de Montfort à Saint Laurent sur Sèvre. Claire Ferchaud
Jeune fille de paysans, Claire Ferchaud née en 1896 est baptisée le jour même de sa naissance. Dès son enfance, l’enfant Jésus l’accompagne au quotidien et devient son compagnon pendant de nombreuses années. Il la forme, l’éduque, la reprend et l’aide à se forger une âme forte, entièrement dévouée au Sacré-Cœur. L’enfant se présentait à elle si simplement, que longtemps, elle ne savait pas être privilégiée et pensait que tous les enfants vivaient la même chose.
Lors d’une retraite en 1916, une vocation se précise : celle de rappeler à la France sa vocation divine ; baptisée chrétienne à Reims, elle a renié sa foi : à l’Evangile, elle a substitué les lois laïques.
Au retour de sa retraite, Claire, encore plus forte et plus résolue que jamais, reçoit du Seigneur la mission de partir à Paris pour y rencontrer le Président Poincaré et lui porter l’image du Sacré-Cœur. Une fois en présence du Chef de l’Etat, elle lui demande, au nom du Seigneur, de faire apposer le Sacré-Cœur sur le drapeau français.
Le Président, un moment ébranlé par l’humble bergère vendéenne, lui révélant cette prière qu’il avait faite peu auparavant, à genoux et secrètement dans son bureau, pour appeler Dieu à son secours, promet qu’il soumettra cette demande au Parlement ; promesse qu’il ne tint pas ...
Jésus lui confiealors la mission de regrouper autour d’elle une petite communauté de cinq compagnes dont le but, tout d’abord, est de réparer le refus du Sacré-Cœur sur le drapeau français. C’est ainsi que les « petites sœurs » feront de leur vie une expiation volontaire et nécessaire envers le Sacré-Cœur de Jésus, pour l’Eglise et pour la France.
Lire la suiteLe Mont-Saint-Michel est une commune française située dans le département de la Manche en région Basse-Normandie qui tire son nom d’un îlot rocheux consacré à saint Michel où s’élève aujourd’hui l’abbaye du Mont-Saint-Michel.
Le Mont-Saint-Michel est d’abord un îlot de roche granitique situé en Basse-Normandie, dans une immense baie de quarante mille hectares, théâtre des plus grandes marées d’Europe. Trois petits fleuves s’y jettent : Le Couesnon, la Sée et la Sélune. En période de marées d’équinoxe, la mer se retire à dix-huit kilomètres des côtes pour remonter à une vitesse d’environ soixante mètres par minute et venir baigner la base du Mont. Il est voisin de Tombelaine, un petit rocher distant de trois kilomètres.
Le Mont-Saint-Michel est à l’origine d’un mythe selon lequel une vaste forêt du nom de Scissy s’étendait de la baie jusqu’aux iles Chausey au début de la dernière période postglaciaire. Certains arbres fossilisés confirment l’existence d’une abondante végétation, mais plusieurs sondages du sol laissent à penser que les pourtours de cette forêt étaient plus limités.
En l’an 708, Aubert, alors évêque d’Avranches, reçoit la visite de l’archange Michel au cours d’un songe. Ce dernier lui ordonne de faire édifier un sanctuaire à l’image du Mont Gargano en Italie.
En l’an 709, Aubert choisit le Mont-Tombe pour y ériger la première chapelle qu’il dédie à saint Michel, puis, il y installe une communauté d’une dizaine de moines pour perpétuer le culte de saint Michel. L’appellation du Mont-Tombe se transforme et devient le « Mont-Saint-Michel au péril de la mer ». De
nombreux pèlerins chrétiens commencent à affluer de toute l’Europe et participent ainsi à sa renommée grandissante.
Pendant deux siècles, grâce au mécénat des ducs de Normandie, la communauté de moines fera vivre et prospérer le Mont.
En 966, une église préromane carolingienne du nom de "Notre-Dame-sous-Terre" est construite de façon à dominer le Mont et accueillir une communauté de bénédictins. Aujourd’hui, cette église se situe sous la nef de l’abbatiale.
Grâce à l’affluence des pèlerins toujours plus nombreux, un village constitué de modestes maisons en bois commence à voir le jour au pied du rocher, sur son flanc sud-est. Dès le Moyen-Age, il a une vocation commerciale avec ses auberges et ses marchands de souvenirs.
Louis-Marie Grignion de Montfort, né le 31 janvier 1673 à Montfort-sur-Meu (Ille-et-Vilaine) et décédé le 28 avril 1716 à Saint-Laurent-sur-Sèvre (Vendée), est un prêtre français, fondateur de deux congrégations religieuses : la Compagnie de Marie (Pères montfortains) et les Frères de Saint-Gabriel.
Représentant majeur de la seconde génération de l'école française de spiritualité. Béatifié en 1888 par Léon XIII, il est canonisé en 1947 par Pie XII.
Montfort a écrit de nombreux petits ouvrages, voici les plus connus : SM : Le Secret de Marie ; ASE : L’amour de la Sagesse éternelle ; C : Cantiques ; CA : le Contrat d’Alliance ; LAC : Lettre aux amis de la Croix ; S.R. Le secret du très saint rosaire ; V.D. : Traité de la vraie dévotion à Marie. P.E. Prière embrasée.
Lire la suiteCotignac est une commune française située dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d’Azur. C'est un lieu de pèlerinage catholique. Ce petit village typiquement provençal, fut marqué par les apparitions de la Vierge Marie et de l’enfant Jésus d’une part et de saint Joseph d’autre part. Cela fait de ce petit village, le seul au monde où l’ensemble de la Sainte Famille soit apparu.
Lire la suitePellevoisin est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.
En 1875, une jeune femme de 32 ans, Estelle Faguette atteinte d’une maladie incurable, écrit, avec un cœur d’enfant et dans une grande confiance, une lettre à la Sainte Vierge : elle lui demande d’intercéder auprès de son divin Fils pour obtenir sa guérison, afin de soutenir ses parents âgés.
La Vierge Marie répond à cette lettre par quinze apparitions de février à décembre 1876, au cours desquelles elle éduque Estelle a la sainteté et lui délivre un message de miséricorde.
Le 19 février 1876, Estelle est entièrement guérie.
Dès 1877, l’Archevêque de Bourges autorise le Culte public à Notre-Dame de Pellevoisin et la chambre d’Estelle est transformée en chapelle.
En avril 1900, le Pape Léon XIII reconnaît officiellement le scapulaire du Sacré Cœur tel qu'Estelle l'a vu porté par la Vierge Marie, et encourage tous les fidèles qui le désirent à le porter.
La guérison d'Estelle a été officiellement déclarée miraculeuse en 1983 par Mgr Vignancour, alors Archevêque de Bourges. Cette déclaration fait suite à tous les actes favorables et marques de bienveillance des souverains pontifes et des archevêques de Bourges à l'égard de Pellevoisin depuis plus d'un siècle.
O ma Mère, je Te remercie d’être toujours à mes côtés pour me réconforter, m’éduquer et me tourner vers Ton Fils Jésus, car moi-aussi je suis ton enfant bien aimé.
Apprends-moi à offrir toutes mes souffrances et mes épreuves pour consoler le Cœur de Jésus, blessé par mes tiédeurs, mes manques d’amour et mes refus de son Amour.
Donne-moi la grâce de vivre l’Eucharistie avec un cœur fervent et à regretter amèrement toutes mes fautes passées.
J’entends tes mots : « courage, confiance, je t’aiderai, » que tu as souvent répétés à Estelle. Je les fais miens.
Guide-moi, ma Bonne Mère, pour grandir dans les vertus de simplicité, d’humilité, de patience, de courage et de confiance en toi.
Je me donne à Toi entièrement, afin que je puisse publier Ta Gloire. Amen
Rocamadour est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département du Lot en région Midi-Pyrénées.
Au cœur du Haut-Quercy, comme accrochée à une puissante falaise dominant de 150 mètres la vallée encaissée de l'Alzou, cette cité mariale est un lieu de pèlerinage réputé depuis le XIIe siècle, fréquenté depuis le Moyen Age par de nombreux « roumieux », anonymes ou célèbres, qui viennent y vénérer la Vierge noire et le tombeau de saint Amadour. Rocamadour est une véritable « citadelle de la Foi ».
Accrochées au rocher, véritable défi à l'équilibre, la Basilique Saint-Sauveur et les chapelles accueillent visiteurs et pèlerins toute l'année.
Rocamadour doit sa notoriété à son pèlerinage et son histoire remonte à un millénaire avec les premiers ermites installés dans un vaste abri sous roche.
En 1166 est découvert un corps parfaitement conservé - Saint Amadour - à l'endroit où sont maintenant érigés les Sanctuaires.
Dès son origine, ce site est dédié au culte marial et à l'intérieur de la chapelle Notre-Dame, on peut admirer la statue de la Vierge Noire. Datant du XIIème siècle, la Vierge Noire ou Notre Dame de Rocamadour est constitué de deux pièces de bois, l'Enfant étant collé sur son genou gauche.
Au sommet des marches du Grand Escalier des Pèlerins se dresse l'esplanade des Sanctuaires de Rocamadour.
La devise du sanctuaire de Rocamadour est "L'espérance ferme comme le roc" .
Lire la suiteSainte-Anne-d'Auray est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne. Elle est célèbre pour son pèlerinage catholique en l'honneur de sainte Anne.
Sainte-Anne-d'Auray est le principal lieu de pèlerinage de la Bretagne. On y vient depuis 1625, pour commémorer l'apparition de sainte Anne, grand-mère maternelle de Jésus-christ, à Yves Nicolazic. Tous les étés, le 26 juillet, un pèlerinage y a lieu : le pardon de Sainte Anne.
On compte une moyenne de 800 000 pèlerins par an à Sainte-Anne-d'Auray.
Jean-Paul II y est venu en pèlerinage le 20 septembre 1996 où il a rassemblé 150 000 personnes, première visite d'un pape en Bretagne.
Construite au XIXème siècle (1867-1872), style néo-gothique et classées aux monument historique, la Basilique est dédiée à Sainte Anne, la mère de la vierge Marie. Les vitraux de la basilique sont inspirés de l'histoire du pèlerinage.
Elle remplace une ancienne chapelle datant de 1630, édifiée par Yves Nicolazic, qui remplaçait déjà une très vielle chapelle du 5ème siècle bâti en l'honneur de Sainte Anne par les immigrants Bretons venus de Grande Bretagne. Elle fut dédruite vers l'an 700.
C'est au 17ème siècle que Sainte Anne d'Auray apparaît plusieurs fois à Yvon Nicolazic, un pieux paysan, dans le village de Ker Anna
Puis une pluie d'étoiles tomba sur son champ du Bocenno et sainte Anne réapparue en lui disant : « Yves Nicolazic, ne craignez rien. Je suis Anne, mère de Marie. Dites à votre recteur que dans la pièce de terre appelée le Bocenno, il y a eu autrefois, même avant qu'il n'y eut aucun village, une chapelle dédiée en mon nom. C'était la première de tout le pays. Il y a 924 ans et 6 mois qu'elle est ruinée. Je désire qu'elle soit rebâtie au plus tôt et que vous en preniez soin parce que Dieu veut que je sois honorée en ce lieu - Doué e venn ma vein inouret aman. »
Sainte Anne réapparut une nouvelle fois et lui demanda de retrouver une statue millénaire enfouie dans son champs. Quelques moments plus tard, le paysan déterra une vieille statue de bois rongée.
3 jours plus tard, les pèlerins commençaient à arriver en foule pour prier sainte Anne devant la statue. L'Evêque Monseigneur de Rosmadec reconnut l'authenticité des apparitions.
Yvon Nicolazic construit alors une petite chapelle (1630). La première messe officielle sera célébrée, par décision de l'évêque de Vannes, le 26 juillet 1625. La basilique actuelle se édifiée en 1872.
A longueur d'année, des centaines de milliers de pèlerins et visiteurs viennent se ressourcer à Sainte Anne d'Auray.
Les 25, 26 juillet, 35 000 fidèles viennent de toute l'Europe pour participer au "Grand Pardon".
Lire la suiteTVA Intracommunautaire FR 12 387 907 850 - Siret 387 907 850 0001 - Code activité 9499Z - Agrément Tourisme Atout France IM053110002 - RC Générali AM 725950